L'enfant et la rivière
de Henri Bosco Pascalet connaît une enfance paisible à la campagne, dans une petite métairie au milieu des champs bordés de cyprès. Le soir, à la veillée, il entend les grandes personnes parler de la rivière qui coule là-bas, derrière les prés, évoquant les eaux bouillonnantes, les crues, les trous morts, les bohémiens et les courants. Pascalet rêve de connaître ce lieu magique qui lui est formellement interdit. « À la rivière mon enfant, lui dit sa mère, il y a des trous morts où l'on se noie, des serpents parmi les roseaux et des Bohémiens sur les rives. » Un jour, les parents de Pascalet partent en voyage. Tante Martine, la tante de Pascalet, doit le garder plusieurs jours, mais elle ne s'en occupe pas, ce qui permet à Pascalet de faire sa première escapade. Le petit garçon va sentir en lui l'appel irrésistible de ce cours d'eau fabuleux qui le fait rêver, nuit et jour, à l'image de Bargabot, l'étrange braconnier qui en connaît chaque méandre et vient parfois lui rendre visite. Bravant un jour l'interdiction de sa famille, il succombe à la tentation et rejoint la rivière. Mais la barque qui le mène part soudain à la dérive, l'entraînant sur une île sauvage. Il y fait alors la rencontre d'inquiétants bohémiens qui retiennent prisonnier un jeune garçon, Gatzo. Après avoir délivré le jeune otage, tous deux s'enfuient. Les deux garçons, se cachant des bohémiens, ne pourront alors plus compter que sur leur seule débrouillardise dans une nature sauvage. Bien plus tard, retrouvant ses parents, Pascalet leur présentera son ami, Gatzo. Apprenant qu'il est seul au monde, les parents de Pascalet l'adopteront. |
Titre : | L'enfant et la rivière |
Auteurs : | Henri Bosco, Auteur |
Type de document : | texte imprimé |
Résumé : |
Pascalet connaît une enfance paisible à la campagne, dans une petite métairie au milieu des champs bordés de cyprès. Le soir, à la veillée, il entend les grandes personnes parler de la rivière qui coule là-bas, derrière les prés, évoquant les eaux bouillonnantes, les crues, les trous morts, les bohémiens et les courants. Pascalet rêve de connaître ce lieu magique qui lui est formellement interdit. « À la rivière mon enfant, lui dit sa mère, il y a des trous morts où l'on se noie, des serpents parmi les roseaux et des Bohémiens sur les rives. »
Un jour, les parents de Pascalet partent en voyage. Tante Martine, la tante de Pascalet, doit le garder plusieurs jours, mais elle ne s'en occupe pas, ce qui permet à Pascalet de faire sa première escapade. Le petit garçon va sentir en lui l'appel irrésistible de ce cours d'eau fabuleux qui le fait rêver, nuit et jour, à l'image de Bargabot, l'étrange braconnier qui en connaît chaque méandre et vient parfois lui rendre visite. Bravant un jour l'interdiction de sa famille, il succombe à la tentation et rejoint la rivière. Mais la barque qui le mène part soudain à la dérive, l'entraînant sur une île sauvage. Il y fait alors la rencontre d'inquiétants bohémiens qui retiennent prisonnier un jeune garçon, Gatzo. Après avoir délivré le jeune otage, tous deux s'enfuient. Les deux garçons, se cachant des bohémiens, ne pourront alors plus compter que sur leur seule débrouillardise dans une nature sauvage. Bien plus tard, retrouvant ses parents, Pascalet leur présentera son ami, Gatzo. Apprenant qu'il est seul au monde, les parents de Pascalet l'adopteront. |
Nature du document : | fiction/documentaire |
Exemplaires
Cote | Section | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
aucun exemplaire |